La dissolution du clan Rizzuto et les opérations policières contre les motards ces dernières années ont ouvert la voie aux gangs de rue montréalais qui, contrairement aux dernières années, forment désormais des « associations » entre bandes rivales pour maximiser les profits.(...)
Mais ça ne s’arrête pas là. Contrairement aux années passées, le proxénétisme rapporte de plus en plus à ces groupes criminels. « Avant, ils agissaient à titre de recruteurs de filles pour les motards. Maintenant, il y a des proxénètes bien établis dans leurs groupes. Ils se spécialisent aussi beaucoup dans la prostitution juvénile », fait valoir Mme Mourani, qui précise que des jeunes filles aussi jeunes que 12 ans peuvent tomber dans le piège.
Mais ça ne s’arrête pas là. Contrairement aux années passées, le proxénétisme rapporte de plus en plus à ces groupes criminels. « Avant, ils agissaient à titre de recruteurs de filles pour les motards. Maintenant, il y a des proxénètes bien établis dans leurs groupes. Ils se spécialisent aussi beaucoup dans la prostitution juvénile », fait valoir Mme Mourani, qui précise que des jeunes filles aussi jeunes que 12 ans peuvent tomber dans le piège.
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