Quimper, 15 juillet 2010. Un gérant de bar situé dans le quartier de la gare à Quimper (Finistère) passe discrètement un coup de téléphone à la police. Une femme d’une quarantaine d’années vient de lui proposer les faveurs sexuelles d’une jeune femme, moyennant 50 €. Les policiers interviennent peu après et procèdent à plusieurs interpellations. Le calvaire de Mariana, Roumaine de 19 ans, prend fin. Elle sort alors des griffes de ceux qu’elle appelle « papa et maman », qui la livrent à la prostitution depuis plusieurs mois.
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La jeune femme, atteinte d’une « déficience mentale légère » selon les psychiatres, est arrivée en France courant 2009 pour « gagner de l’argent ». La mendicité n’étant pas suffisante, son beau-père Constantin Plescan, 54 ans, l’initie à l’activité sexuelle tarifée dans la région de Caen. Abuse à l’envi lui aussi de Mariana. Puis la « confie » à un couple de Roumains vivant dans un squat insalubre, avenue de la Libération à Quimper. Avec d’autres jeunes femmes roumaines, Mariana est soumise à la prostitution forcée.
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La jeune femme, atteinte d’une « déficience mentale légère » selon les psychiatres, est arrivée en France courant 2009 pour « gagner de l’argent ». La mendicité n’étant pas suffisante, son beau-père Constantin Plescan, 54 ans, l’initie à l’activité sexuelle tarifée dans la région de Caen. Abuse à l’envi lui aussi de Mariana. Puis la « confie » à un couple de Roumains vivant dans un squat insalubre, avenue de la Libération à Quimper. Avec d’autres jeunes femmes roumaines, Mariana est soumise à la prostitution forcée.
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